Une fois dans le vallon, c’est direct, ludique et le sommet offre une magnifique vue sur les sommets gavés de neige du Haut-Luchonnais. Un seul impératif : que les pentes surplombantes, notamment celles du Céciré, soient purgées car le vallon est un parfait réceptacle.
Date: 03/03/2018
Distance totale : 15 km
Dénivelé positif : 1000 m
Temps de montée : 2h45
Temps de descente : 1h30
Conditions et commentaires : beau.
Difficultés : aucune.
Accès voiture : granges de l'Espone. Descendre jusqu'aux granges si la piste est praticable. Sinon, se garer au bord de la route ou au tout début de la piste. Lors de notre venue, une voiture a essayé la piste enneigée pour se retrouver finalement bloquée.
Le tracé GPS est consultable ici : https://tracedetrail.com/fr/trace/trace/77042
- Tracé obtenu grâce à une montre GPS portée pendant la sortie mais susceptible d'avoir été corrigé a posteriori (bug, imprécision, arrêt involontaire, problème de batterie...).
- Les fonds de carte IGN (France) et Iberpix (Espagne et Andorre) sont disponibles en se connectant. Comment se connecter, sélectionner les fonds de carte et autres informations sur le module cartographique : Utiliser la cartographie
- Le dénivelé et la distance indiqués sur tracedetrail sont générés automatiquement en important la trace. Ces informations sont susceptibles de varier par rapport à celles présentes sur les récapitulatifs, qui ont été obtenues à l'aide d'un autre outil. Preuve en est que le dénivelé et la distance sont toujours à considérer à titre indicatif.
De la route, descendre aux granges de l’Espone (1453 m) puis remonter au mieux l’évident vallon vers l’O dont le bas est truffé de nombreux restes de coulées. A proximité du col, il existe deux possibilités : soit partir vers le S pour viser directement le sommet, soit rejoindre le col pour suivre ensuite la crête jusqu’au sommet. Les pentes O du sommet ne nous inspirant guère, nous optons sagement pour le col de la Coume de Bourg (2272 m). Nous continuons un instant sur la crête avec les skis avant de les laisser lorsqu’elle s’effile et se redresse. Le sommet s’atteint ensuite sans histoire en prenant garde aux corniches.
Sous le col, la neige est bonne mais elle s’alourdit rapidement. Après un saut à peu près maîtrisé depuis le toit de la cabane, nous en terminons. Une fois à la voiture, le départ est retardé pour aider à déblayer une voiture un peu trop ambitieuse pour rejoindre les granges de l’Espone.