Comme le Mont Né, le pic de Montious offre une vue admirable sur une grande partie de la chaîne. Avec une mer de nuages compacte et des sommets saupoudrés, une magnifique matinée.
Date : 2021/11/13
Distance totale Distance et dénivelé indicatifs. Privilégier ces valeurs plutôt que celles de tracedetrail. : 17 km
Dénivelé positif : 1200 m
Temps de montée Pauses classiques incluses (photo, discussion, collation, manips à ski...) au contraire des longues interruptions (sommet, refuge, sieste...) : 1h40
Temps de descente : 1h
Conditions et commentaires : beau et doux au-dessus de la mer de nuages.
Difficultés : aucune.
Accès : Bareilles (parking au-dessus du village)
Itinéraire Identification nécessaire pour changer de fond de carte. : parcours et profil – GPX
Il bruine dans la vallée mais au parking, le ciel bleu ne semble pas si loin. Les chasseurs se retrouvent également au parking : festival de 4×4 et de treillis. Itinéraire très simple : suivre la longue piste jusqu’à la bergerie (1519 m) où il est possible de se garer pour raccourcir. Un chemin, parfois gelé et glissant, monte ensuite rapidement au lac de Bareilles (1766 m), encore à l’ombre et au reflet parfait. J’emprunte ensuite le petit vallon jusqu’au collet entre sommet du Jambet et Montious. Ce vallon m’a toujours fait de l’oeil à ski, le repérage est fait ! En arrivant au col, superbe découverte des sommets enneigés au-dessus de la mer de nuages. Je ne pensais pas qu’elle serait si compacte car elle semblait désagrégée du côté du Mont Né. Du col, une traversée, un petit passage raide où il faut poser les mains, l’antécime avec la structure métallique comme au pic de Troumouse, et enfin le sommet orné d’un cairn monumental. Je n’arrive pas à partir du sommet tant la vue est belle. Les possibilités de boucle sont très nombreuses (crêtes E ou O, versant N, etc…) mais ayant un impératif je reviens par le même itinéraire, bien plus fréquenté que ce matin. J’ai couru à partir du lac. Au parking, deux cerfs tués et ramenés par les chasseurs gisent devant le bâtiment. J’aurais préféré les croiser dans les bois plutôt que dans cet état.
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