Tranquille journée pour de piquantes retrouvailles avec le gispet ariégeois qui se poursuivent après l’hiver.

Date : 2021/06/01
Distance totale Distance et dénivelé indicatifs. Privilégier ces valeurs plutôt que celles de tracedetrail. : 15 km
Dénivelé positif : 1400 m
Temps de montée Pauses classiques incluses (photo, discussion, collation, manips à ski...) au contraire des longues interruptions (sommet, refuge, sieste...) : 2h15
Temps de descente : 1h30
Conditions et commentaires : nuageux puis plutôt beau.
Difficultés : sentiers intermittents.
Accès : le Bouychet
Itinéraire Identification nécessaire pour changer de fond de carte. : parcours et profilGPX

 

Montée connue jusqu’à la cabane de Brouquenat (1597 m) durant laquelle je croise un pêcheur chargé comme une mule. En restant rive droite du ruisseau de Monescur derrière la cabane, je retrouve une discrète sente cairnée qui devient de plus en plus marquée. À l’estagnol de Monescur (1984 m), la sente part vers le N/NE (un ou deux cairns). Elle reste bien présente et grimpe rudement jusqu’à la crête très débonnaire. Alors que je suis arrivé au parking sous quelques gouttes, me convaincant d’ailleurs de ne pas prendre l’appareil photo, il fait désormais très beau ! Je poursuis sans difficulté la large crête qui vire vers l’O à l’approche du pic de Baliésou. Peu avant le col de Bayle, lorsque je me retrouve en face du chemin qui quitte le pont de la Peyre pour aller vers l’étang de Gnioure, je plonge hors-sentier dans les pentes de gipet pour finir par retrouver une sente cairnée et balisée en jaune. Elle se perd sur la fin mais le plus est fait et le chemin se rejoint très facilement. Il ne reste plus que le sentier rocailleux qui ramène au parking où je profite de la première baignade de la saison. Trois personnes croisées, le double de crapauds, un rapace, et c’est tout !

 


 

Pas de photos pour cette sortie.