Sage randonnée à ski assez fréquentée pour monter sur un des contreforts des hauts sommets de la vallée d’Aure. Le pic d’Aret se dévoilant à l’arrivée au col de Laubère est une magnifique surprise.

Date: 25/02/2018
Distance totale Distance et dénivelé indicatifs. Privilégier ces valeurs plutôt que celles de tracedetrail. : 10 km
Dénivelé positif : 1000 m
Temps de montée Pauses classiques incluses (photo, discussion, collation, manips à ski...) au contraire des longues interruptions (sommet, refuge, sieste...) : 2 h
Temps de descente : 1 h
Conditions et commentaires : beau.
Difficultés : aucune.
Accès : Ens (se garer juste à l’entrée du village)
Itinéraire Identification nécessaire pour changer de fond de carte. : parcours et profilGPX

 

Alors que la vallée de Saint-Lary est agitée par le chassé-croisé des vacanciers hivernaux, le village d’Ens jouit d’une grande tranquillité seulement perturbée par le passage des quelques skieurs de randonnée. Des panneaux interdisent d’ailleurs le ski et la luge au coeur du ville. En cette belle journée ensoleillée, nous n’avons pas ce problème, la neige étant juste au-dessus du village. Pour rejoindre le départ, remonter la rue principale, puis prendre la première rue à droite, la remonter jusqu’à une maison récente sur la droite et prendre le chemin à gauche qui démarre dans le pré. Preuve que l’itinéraire est fréquenté, la trace est on ne peut plus marquée. Rejoindre le lac de la Coume puis monter en ascendance au-dessus de la forêt pour prendre pied dans un vaste vallon orienté NE. Nous remontons le vallon jusqu’au col de Laubère (2179 m) avant lequel nous doublons un groupe accompagné d’un guide qui doit trouver le temps long. Le sommet est alors tout proche et s’atteint skis aux pieds.

Une des belles surprises de l’itinéraire est la vue sur le pic d’Aret lorsque nous arrivons au col. Quelle masse ! Il en impose et ça me donne bien envie d’aller le visiter cet été. Nous sommes trois groupes au sommet mais c’est durant la descente que nous rencontrons le plus de monde. Nous croisons certains skieurs au deuxième tiers de la descente ; certains partent décidément bien tard ! La neige n’a que peu transformé et c’est un régal ! La fine couche sur le bas oblige toutefois à prendre garde aux cailloux qui affleurent ici et là.