Itinéraire tranquille et facile pour admirer le vallon de Bassiès, profiter du printemps qui pointe le bout de son nez, et retrouver les jambes !
Date: 28/03/2016
Distance totale : 12,5 km
Dénivelé positif : 1100 m
Temps de montée : 2h
Temps de descente : 1h15
Conditions et commentaires : nuageux, plafond à 3300 m environ.
Difficultés : aucune.
Accès voiture : parking de Massada. Peu après Auzat, se garer sur l'aire de Massada (panneau) puis poursuivre 100 mètres sur la route pour trouver le chemin.
Le tracé GPS est consultable ici : https://tracedetrail.com/fr/trace/trace/77683
- Tracé obtenu grâce à une montre GPS portée pendant la sortie mais susceptible d'avoir été corrigé a posteriori (bug, imprécision, arrêt involontaire, problème de batterie...).
- Les fonds de carte IGN (France) et Iberpix (Espagne et Andorre) sont disponibles en se connectant. Comment se connecter, sélectionner les fonds de carte et autres informations sur le module cartographique : Utiliser la cartographie
- Le dénivelé et la distance indiqués sur tracedetrail sont générés automatiquement en important la trace. Ces informations sont susceptibles de varier par rapport à celles présentes sur les récapitulatifs, qui ont été obtenues à l'aide d'un autre outil. Preuve en est que le dénivelé et la distance sont toujours à considérer à titre indicatif.
En une phrase, monter au Pic du Far consiste à suivre le chemin des étangs et refuge de Bassiès puis bifurquer au niveau de l’étang de l’Escaliès (1594 m) afin de rejoindre facilement le modeste sommet. L’itinéraire du refuge de Bassiès est abondamment fléché et il apparaît difficile de se tromper.
Au départ, le chemin longe la rivière avant de monter plus rudement en lacets jusqu’à 1500 m environ où je commence à rencontrer les premières traces de neige. Puis, il oscille un court instant à flanc afin de rejoindre le déversoir et le barrage de l’étang d’Escaliès. Je le longe presque jusqu’à son terme avant de m’élever sur la droite en suivant les traces de raquettes qui me permettent accessoirement de ne pas m’enfoncer en raison du regel quasi inexistant. Une douce pente mène au sommet où le panorama s’ouvre sur la vallée de Soulcem, celle de Bassiès ainsi que sur la plaine. Même si le soleil n’est pas loin et le plafond haut, l’atmosphère reste sombre et voilé ; les 3000 ariégeois sont coiffés d’une nappe très mobile de brouillard leur donnant un aspect froid et mystérieux.
Descente par le même itinéraire. Au niveau du barrage, les éclaircies sont beaucoup plus franches et soulignent la quiétude de ce joli vallon où je n’aurais finalement croisé qu’une seule personne.