S’il n’est pas le plus haut de l’Ariège et du Couserans, le Mont Valier est assurément l’un des plus charismatiques. Sa forme, son glacier, sa voie mythique du Trou Noir, ou encore son panorama exceptionnel en font un passage obligé.
Date: 14/07/2012
Distance totale : 17 km
Dénivelé positif : 1850 m
Temps de montée : 4h15
Temps de descente : 3h15
Conditions et commentaires : beau.
Difficultés : aucune.
Accès voiture : pla de la Lau.
Le tracé GPS est consultable ici : https://tracedetrail.com/fr/trace/trace/77728
- Tracé obtenu grâce à une montre GPS portée pendant la sortie mais susceptible d'avoir été corrigé a posteriori (bug, imprécision, arrêt involontaire, problème de batterie...).
- Les fonds de carte IGN (France) et Iberpix (Espagne et Andorre) sont disponibles en se connectant. Comment se connecter, sélectionner les fonds de carte et autres informations sur le module cartographique : Utiliser la cartographie
- Le dénivelé et la distance indiqués sur tracedetrail sont générés automatiquement en important la trace. Ces informations sont susceptibles de varier par rapport à celles présentes sur les récapitulatifs, qui ont été obtenues à l'aide d'un autre outil. Preuve en est que le dénivelé et la distance sont toujours à considérer à titre indicatif.
Souvenir mémorable de cette magnifique journée d’été en montagne.
Ascension du Mont Valier par la voie normale passant par les points clés suivants : Cascade de Nérech (1477 m), Cabane des Caussis (1859 m), Refuge des Estagnous (2245 m), Col du Faustin (2653 m). Jusqu’à la Cascade de Nérech, le chemin est bon, puis il se redresse nettement jusqu’au refuge. Pour atteindre le col du Faustin, un petit passage est câblé en raison de son étroitesse mais il n’y a absolument aucune difficulté. Nous sommes descendus par le même itinéraire alors qu’au refuge il est possible de passer par le col de Pécouch et l’étang de Milouga. Le chemin ramène aussi à la voiture mais c’est plus long que la voie normale (qui l’est déjà !).
Parmi les images marquantes de cette randonnée, j’ai notamment en tête l’étang rond illuminé par les lueurs matinales, les isards rencontrés, les chutes de pierres provoqués par ces derniers, et le panorama au sommet. A l’époque, je ne pouvais identifier que très peu de sommets, c’était juste beau.